Egypte
Méditéranée

Que faire en Egypte ?

Vous projetez un voyage en Egypte ? Découvrez les endroits incontournables de ce magnifique pays dans notre article dédié, au pays des pharaons:

Le temple d’Abou Simbel

A 280 km d’Assouan, sur la rive ouest du lac Nasser, à 20 km de la frontière actuelle du Soudan, surgissent des eaux et du désert deux tombeaux enchâssés dans la falaise dominant le Nil.
A l’entrée veillent des colosses de plus de 20 mètres de haut, taillés à même le roc, sculptés à l’image de l’un des derniers grands pharaons du Nouvel Empire, Ramsès II.

Ce fut l’endroit sur lequel Ramsès II, « riche de fêtes jubilaires », jeta son dévolu pour son « temple des millions d’années », dédié en théorie aux trois grands dieux Amon, Rê et Ptah, mais en réalité construit pour glorifier et diviniser le pharaon.
C’est vers l’an 1260 avant notre ère, que le grand pharaon décida de construire ses temples, l’un dédié à sa propre gloire et un autre, plus petit, dédié à la déesse Hathor pour son épouse préférée Néfertari.
Le temple de Ramsès II est orienté à l’Est de façon que, deux fois l’an, le 22 févier (date de la naissance du roi), et le 22 octobre (date de son couronnement), quatre des trois statues trônant côte à côte, dont celle du pharaon assis avec les dieux Amon, Rê et Ptah, soient éclairées par le soleil au lever du jour. Seule la statue de Ptah, le dieu du monde souterrain, reste dans l’ombre.

Dans la solitude du désert nubien, les deux réalisations architecturales de Ramsès II défient par leur majesté les hommes et le temps.
La façade de 38 mètres de long et de 31 mètres de haut fut sculptée à même le rocher : ses colonnes portantes étaient les quatre colossales statues représentant le pharaon assis sur le trône.
Champollion disaient que « ces statues immenses et superbes sont aussi monumentales que splendides et délicates de traits ».

A l’intérieur de la montagne, Ramsès fit creuser une énorme salle reposant sur huit piliers de dix mètres de haut, représentant Osiris sous les traits de Ramsès, exaltation suprême de sa personnalité divinisée.
Sur la quasi-totalité des murs est représentée la bataille de Qadesh qui opposa le jeune roi aux armées hittites et qui rappelle à l’histoire les hauts faits d’arme de Ramsès.

L’autre temple plus petit est consacré à la gloire de la déesse Hathor que le pharaon a dédié à Néfertari.
L’entrée du temple est protégée par six statues, de 10 mètres de haut, prêts à surgir de force du rocher pour marcher vers la lumière.

Néfertari est représentée sous les traits d’Hathor, et à l’intérieur, on a gravé son histoire avec Ramsès.

Comment ne pas voir dans ce petit temple un acte d’amour très humain et très tendre du grand pharaon envers son épouse.

Abou Simbel ne célébrait pas seulement la victoire de Ramsès à Qadesh, ce n’était pas seulement un hymne à sa gloire et à sa puissance. Ce fut aussi un « temple de famille », où le pharaon fit représenter les êtres qui lui étaient le plus chers : ses enfants, sculptés en petit entre les jambes de leurs parents et sa femme qui d’un geste tendre pose la main sur la jambe colossale de son époux divin.

Temple Abou Simbel

Assouan et les bords du Nil

La ville d’Assouan, située à 900 km du Caire, est la troisième ville la plus importante du pays après Le Caire et Alexandrie.

Longtemps Assouan fut considérée comme le dernier poste civilisé avant le monde inconnu et sauvage de l’Afrique.

Aujourd’hui, la ville est tournée vers l’avenir, avec la construction du haut barrage datant de 40 ans et avec cet immense défi du canal de Tochké, qui reliera le lac Nasser à un réservoir naturel dans le désert.

Néanmoins, Assouan continue à charmer le visiteur, qui remonte le fleuve et le temps, dans un cadre magique.

Assouan se découvre à bord d’un gros navire de croisière qui longe la ville par le Nil.
Silencieusement, l’embarcation dépasse les hôtels modernes et le front les autres navires tous amarrés les uns aux autres le long du quai.

Puis elle se faufile entre les rochers et les felouques louvoyantes d’Assouan qui permettent aux visiteurs d’aborder les nombreuses « îles magiques », témoignage d’une faune et d’une flore inépuisables.

Les alentours d’Assouan et du Nil nous offre un décor lumineux jouant avec le bleu-vert de l’eau et l’ocre des roches.

Voyager sur le Nil offre un aperçu de ce qui subsiste des modes de vie traditionnelle.
Les champs composent une mosaïque de maïs, de légumes, de canne à sucre, de coton et de luzerne pour l’élevage du bétail. L’agriculture conquiert toujours plus de terres en bordure du désert.

Le long du fleuve, les villages sont accroupis sur des buttes légères, les habitations sont parfois encore en brique crue, mais le plus souvent en brique cuite ou en ciment.

L’homme n’est pas le seul à pêcher dans le Nil : de nombreux oiseaux lui font concurrence.

Assouan

Les pyramides de Gizeh

Aux portes de la ville du Caire s’élève la plus ancienne et la seule survivante des Sept Merveilles du monde antique, les trois pyramides de Gizeh.

C’est vers 2500 av J-C que les pharaons de la IVe dynastie, Chéops, Chéphren et Mykérinos choisissent pour nécropole le plateau de Gizeh, à 12 km à l’Ouest du Caire.

Ils y édifient les trois grandes pyramides, et, tout autour, des pyramides plus petites réservées aux reines.
Un siècle plus tard, Thoutmosis IV, à la suite d’un songe, fait dégager le sphinx qui était ensablé.

La construction des pyramides reste encore un mystère.
Comment les architectes des pharaons ont-ils maîtrisé aussi parfaitement les lois de la pesanteur et de l’équilibre par l’agencement de simples blocs ?
Comment ont-ils pu monter ces blocs l’un sur l’autre jusqu’à une hauteur de plus de 145 mètres pour atteindre cette forme géométrique si pure ?

Plusieurs kilomètres avant d’atteindre le plateau de Gizeh, on commence à distinguer, par-dessus les immeubles modernes du Caire, le triangle doré du sommet de la Grande Pyramide (Chéops)
L’impression que produisent les pyramides est imposante et fascinante. La grandeur de l’Ancien Empire s’exprime dans l’ampleur et la démesure de ces sépultures royales.

La Grande Pyramide de Chéops :
La grande pyramide, édifiée par Kheops, ne peut qu’impressionner : le volume des pierres est estimé à plus de deux millions et demi de mètres cubes, la base de l’édifice couvre une superficie de 53000 m2 et chaque côté mesure 230 mètres !
Au sommet de la pyramide manque le pyramidion doré et surtout le revêtement de calcaire blanc qui rendait les côtés lisses et brillants au soleil.
On peut visiter l’intérieur (claustrophobes s’abstenir) qui comporte trois chambres funéraires.

La pyramide de Chéphren :
A peu de distance de la précédente, elle lui cède en hauteur de quelques mètres.
Elle conserve en revanche au sommet une partie significative de son revêtement de calcaire qui donne une bonne idée de l’aspect originel des trois édifices.
L’accès à l’intérieur est interdit; on y trouve une chambre funéraire qui contient le sarcophage vide du pharaon.

La pyramide de Mykérinos :
Située à 300 mètres à l’Ouest de la précédente, elle est la plus petite des trois.
On peut pénétrer à l’intérieur jusqu’à la chambre funéraire, creusé dans la roche, sous la pyramide; ici, il n’y a pas de sarcophage.

Le Sphinx :
Admirable de sérénité et de puissance, le Sphinx, taillé dans une masse rocheuse, veille depuis plus de 4500 ans sur les pyramides.
Son visage est celui de Chéphren; le corps, celui d’un lion.
Il fut également au centre d’un culte, comme en témoignent les vestiges d’un temple en avant des pattes de l’animal.

Le temple de la Vallée :
Chaque pyramide fait partie d’un vaste complexe funéraire, dont chaque élément a une fonction au moment des funérailles du souverain défunt.
Le temple de la Vallée, au bord du Nil, accueille d’abord la dépouille royale, elle y est purifiée et embaumée, ensuite, après les ultimes purifications, le corps du roi est emmené et déposé dans la chambre royale de la pyramide.
A la fin des funérailles, celle-ci est à jamais fermée par des herses et des bouchons de granit.

Alors Pharaon, recouvert d’or, protégé par des centaines d’amulettes et entouré d’un fabuleux mobilier funéraire, peut commencer son séjour dans l’au-delà en compagnie des dieux.

Pyramides de Gizeh

Temple de LouxoR

Louxor, anciennement Thèbes, capitale de la Haute Egypte, est toujours une ville en fête.

C’est une des destinations phares du pays où l’on peut passer une semaine de détente et de dépaysement.

Entre la découverte d’un patrimoine exceptionnel et la rencontre d’un peuple qui a su conserver gentillesse et convivialité, Louxor est une destination rêvée.

Le temple de Louxor est l’un des plus majestueux temples pharaoniques et l’un des plus pittoresques avec sa mosquée suspendue au-dessus de la cour de Ramsès II.
Déblayé en 1883 par Gaston Maspero, le site est l’œuvre de deux grands rois bâtisseurs : Aménophis III et Ramsès II.

Sa construction aduré quatre siècles. Le temple est constitué d’une sale hypostyle, d’une cour, d’un pylône monumental qui sert d’entrée au sanctuaire. Ce pylône, dont les deux masses symbolisent les montagnes entre lesquellles le soleil se lève chaque matin, est gardé par deux statues imposantes à l’effigie de Ramsès II.

Il manque un obélisque à l’appel qui fut offert à la France par Mohammed Ali en 1833 et qui orne désormais la place de la Concorde à Paris depuis 1836. Symbole solaire, l’obélisque est une aiguille d’un seul bloc dont la pointe était recouverte d’or ou d’électrum.

Le temple est érigé à la gloire d’Amon, roi des dieux ; c’était le harem méridional d’Amon, où le dieu de Karnak se rendait chaque année au cours de la fête d’Opet : la plus grande activité du site.

Amon quittait son sanctuaire de Karnak en barque d’apparat pour s’en aller durant dix jours séjourner dans son temple de Louxor, lui permettant ainsi de revivifier son énergie créatrice.
Dix jours de festivité et d’abondance.
Le moment culminant des cérémonies était quand la barque sacrée d’Amon sortait du temple de Karnak, suivie par celle de Mout son épouse et de Khonsou, leur fils.

Le temple de Louxor était réuni à celui de Karnak par une longue allée bordée de sphinx où l’on entend encore, après tant de siècles, les chants et les danses d’une foule en délire.

Louxor

Le temple d’Edfou

Situé à 108 km au sud de Louxor et 115 km au nord d’Assouan, sur la rive gauche du Nil.

A Edfou, une course en calèche à travers la ville mène du débarcadère au site éloigné de 3 km environ. Cette petite excursion nous plonge au cœur de la cité.

Le temple d’Edfou fut découvert dans un état de conservation exceptionnel, son culte est consacré au dieu Horus, le faucon.

Son construction débuta sous l’époque prolémaïque (237 av J-C) et s’acheva deux siècles plus tard.

On y retrouve l’influence artistique grecque.

Le temple d’Horus, imposant sanctuaire, est le mieux conservé des temples égyptiens.

En descendant de calèche, nous abordons le temple par l’arrière et il faut longer le long mur occidental du temple pour gagner la façade principale.
L’entrée principale est monumentale, bardée de décoration de scènes traditionnelles de massacre, donnant accès à la cour et autres salles ainsi qu’au sanctuaire et à la salle hypostyle.

L’entrée, gigantesque, est encadré par deux imposantes statues représentant Horus sous forme de faucon. Impressionnant.

Le sanctuaire est dédié au culte du dieu égyptien Horus, fils d’Osiris et d’Isis, qui dut combattre son oncle Seth pour rentrer en possession du royaume de son père.
Les murs du temple relatent cette épopée.

La visite du temple d’Edfou reste inoubliable et nous plonge à travers l’histoire.
Au détour d’une colonne, on découvre des écritures historiques telles des messages écrits en alphabet grec ou la signature du passage de Napoléon Bonaparte durant sa campagne en Egypte (1798-1801)

Le site fut découvert par hasard et investit par Champollion, égyptologue français (1790-1832).

Quel heureux hasard !

Edfou

Le temple de Kom Ombo

Kom Ombo est situé à 167 km au sud de Louxor et 45 km au nord d’Assouan, sur la rive droite du Nil.

Le temple, l’un des plus romantiques de l’Egypte surplombe une bande verte de jardins hérissés de palmiers.

Plus de deux mille ans de soleil ne sont pas parvenus à effacer les décorations peintes sur ses colonnes et ses chapiteaux. De nombreuses scènes pharaoniques éblouissent par l’intensité des couleurs restantes.

Kom Ombo est un site dédié à deux divinités : le dieu Horus et le dieu crocodile Sobek.

Cette particularité se retrouve dans l’aménagement du temple qui devient double.
Une double porte accueille les touristes, qui cheminent à travers des dédales imposants et vertigineux.

Le temple, vestige de l’héritage grec, arbore une esplanade où se dresse tout d’abord les pylônes. Vient ensuite la cour et c’est par une double porte que l’on accède aux deux salles successives qui conservent de beaux reliefs.
S’en suivent deux sanctuaires qui mènent à de petites salles au décoration de reliefs qui restent inachevée.

Au nord du temple, on admire un vaste puits circulaire auquel on accédait par un passage souterrain.

En quittant le temple, on peut prendre le temps de découvrir des crocodiles momifiés, très bien conservés, se reposant dans la chapelle d’Hathor à l’écart du temple.

Le culte du dieu-crocodile Sobek est fort ancien puisqu’il remonte à l’époque prédynastique. Il est adoré dans la région de Fayoum, mais surtout à Kom Ombo, où il est associé à Horus et Hathor.

Kom Ombo

La vallée des rois et des reines

Face aux temples de Karnak et de Louxor, sur la rive Ouest du Nil, apparaît la nécropole de Thèbes.
C’est là que les souverains du Nouvel Empire ont choisi de creuser leur demeure d’éternité.
A leur suite, épouses royales, nobles et artistes se firent inhumer dans le flan des montagnes alentour : une véritable société d’outre-tombe y repose.
La nécropole thébaine renferme ainsi :
la Vallée des Rois,
la Vallée des Reines,
la Vallée des Nobles,
la Vallée des Artistes (Deir el-Médineh)
Deir el-Bahari (temple d’Hatshepsout)
Le Ramesseum (temple de Ramsès II)
Médinet-Habou (temple de Ramsès III)
Le temple de Séthi Ier

La vallée des rois servit de lieu d’inhumation pour les souverains d’Egypte de Thoutmosis I (1493-1481) jusqu’à Ramsès XI (1099-1069) qui clôt la XXe dynastie.
Le culte du roi défunt, depuis l’aube de la civilisation égyptienne, réclamait l’existence d’un temple funéraire : un « temple des millions d’années », tel ceux de Ramsès II, Ramsès III, Séthi Ier et Hatshepsout qui sont encore bien conservés.

La Vallée des Rois et des Reines
A partir du Nouvel Empire, les pharaons abandonnent l’idée de faire construire des pyramides avec leurs temples funéraires; ces sépultures, trop visibles, attirent les pillards.
Ils décident donc de se faire enterrent dans des tombeaux creusés dans les rochers, sous la montagne thébaine, dans une petite vallée désertique. Les temples funéraires se trouvent alors dissociés des tombeaux et bâtis en contrebas de la montagne.

En pénétrant dans la Vallée, on ne s’attend pas à découvrir les trésors enfouis depuis des millions d’années.
Il faut visiter la tombe de Toutankhamon, dont les trésors fabuleux reposent au musée du Caire, la tombe de Ramsès VI, qui a un plafond entièrement décoré de scènes astronomiques, la tombe de Thoutmosis III, seulement accessible par une échelle de fer moderne d’une dizaine de mètres avant de plonger dans les profondeurs d’un couloir étroit : pour les courageux !
Dans la Vallée des Reines, la tombe de Néfertari, épouse préférée de Ramsès II, est la plus captivante.

Deir el-Bahari
C’est un majestueux temple funéraire dédié à la princesse Hathor, construit par Hatshepsout, épouse et demi-sœur de Thoutmosis II.
le temple est parfaitement intégré à la falaise, le sanctuaire se trouvant au cœur de la montagne.

Le Ramesseum
C’est peu après son accession au trône que le pharaon Ramsès II (1279-1213) entreprit la construction de son temple funéraire.
Plus que son architecture d’ensemble, ce sont les reliefs du Ramesseum qui retiendront en tout premier lieu l’attention : une véritable gloire aux grandes victoires du règne.

Médinet-Habou
La partie la plus impressionnante est le temple funéraire de Ramsès III, presque entièrement conservé, il est l’exemple le plus parfait des temples de la dynastie ramesside.

Les colosses de Memnon.
Deux énormes colosses se dressent à l’entrée du temple funéraire d’Aménophis III, disparu depuis.
Il est dit que, chaque matin, la statue de Memnon « chantait ».
Memnon, fils d’Aurore et de Titon, roi d’Egypte et d’Ethiopie, envoyé par son père à la défense de Troie assiégée par les grecs, se couvrit de gloire avant de mourir sous les coups d’Achille.
Aurore, en larmes, aurait prié le dieu Jupiter de faire revivre son fils au moins un moment chaque jour.
Ainsi, chaque matin, sous les caresses de l’aurore, Memnon répondait à sa mère inconsolable par une longue lamentation.
Explication prosaïque : l’eau accumulée pendant la nuit faisant vibrer l’air en s’évaporant.

Vallee des rois

Le temple de Karnak

A partir de 1550 av J-C, Thèbes devient un important centre religieux.
La cité s’étend de part et d’autre du Nil ; sa rive Ouest est la rive des morts ;
Sa rive Est est celle des vivants, avec les ensembles monumentaux de Louxor au sud et Karnak au nord.

Le temple de Karnak est une œuvre titanesque de plus de cent hectares, ponctué de pylônes, de colosses assis ou debout, de cours, de petits temples, de sanctuaires, d’obélisques.

Durant cinq siècles, les plus grands pharaons, tels Thoutmosis I, Aménophis et Ramsès II, se sont succédés et ont démoli, complété et reconstruit des temples, des reposoirs, des colonnes, sur ce vaste site consacré à la gloire du dieu Amon, roi des dieux, à son épouse la déesse Mout et à leur fils Khonsou.

Le temple de Karnak, identifié au XVIIIe siècle au moment de l’expédition d’Egypte, est plus qu’un temple, c’est une véritable ville avec ses habitations, ses bâtiments administratifs, ses ateliers, ses écoles, ses bibliothèques…
Karnak, comme tous les autres temples égyptiens, n’est pas un lieu de recueillement mais la résidence d’un dieu.
Selon les égyptiens, l’édifice qui renferme la statue du dieu représente le monde en miniature lors de sa création.
Son plafond est à l’image du ciel, une voûte étoilée illustrant la déesse Nout; son sol représente la terre; ses colonnes rappellent la végétation.
Et il faut chérir la divinité pour que chaque matin, elle renaisse et ranime l’Univers.

Le temple de Karnak est aujourd’hui un fabuleux champ de ruines, mais lorsqu’on pénètre dans la cité, l’envoûtement du dieu Amon est imposant ; dès notre arrivée, en longeant l’allée des sphinx, nous franchissons un pylône gigantesque, inachevé qui ouvre sur la Grande cour, à ciel ouvert.
On se sait où regarder tellement le spectacle est grandiose. On y découvre un temple consacré à Amon, construit par Séthi II (1204-1198), un autre temple construit par Ramsès III dont les murs sont ornés de magnifiques hauts-reliefs et enfin des colosses géants tels la statue du roi Pindjem avec son épouse qui mesure 15 mètres !

Un second portail nous conduit à la salle hypostyle, une pièce gigantesque dont le plafond est soutenu par des colonnes ornées de reliefs inoubliables. C’est une véritable forêt de colonnes dont les dimensions et les jeux d’ombre et de lumière transmettent une émotion incroyable.
Après la grande salle hypostyle se dresse l’obélisque de Thoutmosis I, haut de 23 mètres et pesant 143 tonnes.

Le fabuleux voyage s’achève au lac sacré, long de 120 mètres, qui s’illumine lors du son et lumière et nous transporte à travers les siècles pour festoyer et danser avec les dieux après chaque victoire pour que celle-ci reste éternelle.

Karnak

Le temple de Philae

Le temple de Philae, situé à 5 km au sud d’Assouan, n’est aujourd’hui accessible qu’en bateau.

Avec la mise en eau du premier barrage d’Assouan en 1902, le temple de Philae était promis à une mort lente. Des scientifiques du monde entier, dont Christiane Desroches-Noblecourt, entreprirent le sauvetage des temples de Philae. Les travaux, pour déplacer le site sur une île plus à l’Ouest, commencèrent en 1972 et s’achevèrent 8 ans plus tard.

Une embarcation est donc nécessaire pour aborder l’île, la traversée dure 10 minutes.

Philae était l’un des sites les plus sacrés de l’Egypte pharaonique. Il fut également le dernier temple où, jusqu’au Vie siècle ap J-C, les égyptiens pouvaient encore honorer leurs dieux alors que le christianisme se diffusait en Egypte et à travers le reste du monde.

On reconnaît, en abordant le site, l’influence architecturale d’origine grecque apportée par l’invasion d’Alexandre le Grand en 330 av J-C.

Le site est composé d’un portique aux chapiteaux hathoriques, d’un temple, d’une cour, d’un sanctuaire dédiés à la déesse Isis et d’un kiosque dédié à la déesse Hathor.

Philae est voué au culte d’Isis, , la Mère universelle, fille de Geb et Nout, sœur et épouse d’Osiris.

Selon le mythe, Osiris fut assassiné et dépecé par son frère Seth, le maléfique.
Il l’enferma en premier lieu dans un coffre et le jeta dans le Nil.

Folle de douleur, Isis récupère le coffre et le cache dans les fourrés du delta du Nil.
L’ayant appris, Seth réussit à dérober le corps de son frère ; cette fois, il le découpe en quatorze morceaux.

Ses reliques furent dispersées à travers toute l’Egypte, mais sa jambe gauche reposée à Bigeh, une petite île à l’ouest de Philae.

Isis doit partir pour une seconde quête. Patiemment, elle réussit à retrouver chaque partie du corps de son époux et parvient à lui rendre la vie.

Isis donne naissance à Horus qui devra occuper le trône terrestre laissé libre par Osiris qui règne désormais sur le royaume des morts.

Il est recommandé d’achever ce voyage mythique par le son et lumière qui relate ces aventures divines et les rend éternel

Philae

Le temple d’Abou Simbel

A 280 km d’Assouan, sur la rive ouest du lac Nasser, à 20 km de la frontière actuelle du Soudan, surgissent des eaux et du désert deux tombeaux enchâssés dans la falaise dominant le Nil.
A l’entrée veillent des colosses de plus de 20 mètres de haut, taillés à même le roc, sculptés à l’image de l’un des derniers grands pharaons du Nouvel Empire, Ramsès II.

Ce fut l’endroit sur lequel Ramsès II, « riche de fêtes jubilaires », jeta son dévolu pour son « temple des millions d’années », dédié en théorie aux trois grands dieux Amon, Rê et Ptah, mais en réalité construit pour glorifier et diviniser le pharaon.
C’est vers l’an 1260 avant notre ère, que le grand pharaon décida de construire ses temples, l’un dédié à sa propre gloire et un autre, plus petit, dédié à la déesse Hathor pour son épouse préférée Néfertari.
Le temple de Ramsès II est orienté à l’Est de façon que, deux fois l’an, le 22 févier (date de la naissance du roi), et le 22 octobre (date de son couronnement), quatre des trois statues trônant côte à côte, dont celle du pharaon assis avec les dieux Amon, Rê et Ptah, soient éclairées par le soleil au lever du jour. Seule la statue de Ptah, le dieu du monde souterrain, reste dans l’ombre.

Dans la solitude du désert nubien, les deux réalisations architecturales de Ramsès II défient par leur majesté les hommes et le temps.
La façade de 38 mètres de long et de 31 mètres de haut fut sculptée à même le rocher : ses colonnes portantes étaient les quatre colossales statues représentant le pharaon assis sur le trône.
Champollion disaient que « ces statues immenses et superbes sont aussi monumentales que splendides et délicates de traits ».

A l’intérieur de la montagne, Ramsès fit creuser une énorme salle reposant sur huit piliers de dix mètres de haut, représentant Osiris sous les traits de Ramsès, exaltation suprême de sa personnalité divinisée.
Sur la quasi-totalité des murs est représentée la bataille de Qadesh qui opposa le jeune roi aux armées hittites et qui rappelle à l’histoire les hauts faits d’arme de Ramsès.

L’autre temple plus petit est consacré à la gloire de la déesse Hathor que le pharaon a dédié à Néfertari.
L’entrée du temple est protégée par six statues, de 10 mètres de haut, prêts à surgir de force du rocher pour marcher vers la lumière.

Néfertari est représentée sous les traits d’Hathor, et à l’intérieur, on a gravé son histoire avec Ramsès.

Comment ne pas voir dans ce petit temple un acte d’amour très humain et très tendre du grand pharaon envers son épouse.

Abou Simbel ne célébrait pas seulement la victoire de Ramsès à Qadesh, ce n’était pas seulement un hymne à sa gloire et à sa puissance. Ce fut aussi un « temple de famille », où le pharaon fit représenter les êtres qui lui étaient le plus chers : ses enfants, sculptés en petit entre les jambes de leurs parents et sa femme qui d’un geste tendre pose la main sur la jambe colossale de son époux divin.

Abou Simbel

HISTORIQUE et Chronologie de l’Egypte

L’Egypte apparaît très tôt dans l’histoire des civilisations, dès le IV millénaire ; elle est alors divisée en deux royaumes : Basse-Egypte au Nord et Haute-Egypte au Sud.
Durant cette période l’Egypte voit se succéder trois empires distincts et de nombreuses dynasties.

3200-2280 av J-C : Ancien Empire
L’Egypte est alors unifiée et Memphis en est la capitale.
C’est durant cette période de prospérité économique et de développement artistique que les rois de la IVe dynastie construisent les pyramides de Guizèh.

2050-1580 av J-C : Moyen Empire
La XIe dynastie étend sa domination jusqu’à la Nubie et en direction de la Syrie.
La XIIe dynastie favorise le culte d’Amon.

1580-1100 av J-C : Nouvel Empire
Sous la XVIIIe dynastie, l’Egypte étend sa domination vers le haut Nil et la Syrie.
Ramsès II (XIXe dynastie) repousse les invasions hittites.
Le culte d’Amon est abandonné pour celui de Aton.

525 av J-C
L’Egypte est affaiblie, elle est conquise par les Perses.

332 av J-C
Le pays est conquis par Alexandre le Grand.
La civilisation égyptienne subit alors l’influence grecque : Alexandrie devient la capitale intellectuelle du pays.

30 av J-C
L’Egypte est annexée par Rome puis subit progressivement l’influence du christianisme qui s’implante solidement au IIIe siècle ap J-C.

395 ap J-C
L’Egypte fait partie de l’Empire byzantin d’Orient.

640 ap J-C
Conquise par les Arabes, l’Egypte se convertit rapidement à l’islam.

1171 : le pays subit la domination turque.
1250 : les mamelouks prennent le pouvoir.
1517 : Selim réunit l’Egypte à l’Empire Ottoman.
1791-1901 : l’expédition française menée par Bonaparte signe le début de l’Egypte moderne qui va progressivement devenir indépendante.
1869 : le canal de Suez est construit par les britanniques.
1882 : protectorat de la Grande-Bretagne.
1936 : indépendance totale de l’Egypte.

LES PRINCIPAUX DIEUX

AMON
Dieu du soleil, le plus important des dieux honorés.
Il est représenté avec une tête de bélier.

Anubis
Dieu des Embaumeurs, représenté avec une tête de chacal, il est chargé de conduire les morts dans l’autre monde.

Osiris
Dieu des forces végétales, il est garant de la renaissance des hommes.
Il est représenté en pharaon portant la couronne blanche du Sud surmontée de deux plumes.

Isis
Déesse de la magie et de la vie épouse et sœur d’Osiris.
Elle représente la mère idéale sous forme de femme.

Horus
Dieu protecteur de l’Egypte, fils d’Isis et Osiris, représenté avec une tête de faucon.

Hathor
Déesse de la Joie et de l’Amour, représentée le plus souvent par une vache.

Maât
Déesse de la Justice et de la Vérité, fille de Rê, elle est représentée comme une femme avec une plume d’autruche dans sa coiffure.


Dieu du soleil, finalement confondu avec Amon, représenté comme un homme ou un faucon.

Seth
Dieu malfaisant, assassin de son frère Osiris, seigneur du désert, il est parfois représenté avec un corps de lévrier, une queue fourchue et un museau allongé.

Thot
Dieu des Chiffres, inventeur de l’écriture, représenté sous les traits d’un ibis ou d’un babouin.

Nout
Déesse du ciel, épouse de Geb (la terre), on la représente le corps courbé, touchant la terre des mains et des pieds.

Geb
Dieu de la Terre, il s’accoupla avec sa sœur Nout engendrant Osiris, Isis, Seth et Nephlys. Il est représenté sous forme anthropomorphe, allongé sous la voûte céleste.

Ptah
Dieu local de Memphis, protecteur de la monarchie.

Apis
Divinité agraire représentée par un taureau.

Khnoum
Dieu de la fertilité, il est représenté par un homme à tête de bélier à double encornure.

Les principaux pharaons

Ancien Empire :

Djoser (IIIe dynastie)
Il fait construire par son grand-prêtre, l’architecte Imhotep, la première grande pyramide à degrés de Saqqarah.

Chéops (IVe dynastie)
Durant son règne (23 ans), il fait construire la grande pyramide de Gizeh.

Chéphren (IVe dynastie)
On lui doit le sphinx et la seconde grande pyramide de gizeh.

Mykérinos (IVe dynastie)
Il construit la plus petite des trois pyramides de Gizeh.

Moyen Empire :

Sésostris 1er (XIIe dynastie)
C’est le premier pharaon qui, pour assurer la dynastie, associe son fils au pouvoir.
Il étend sa domination en Nubie et en Palestine.

Nouvel Empire :

Thoutmosis 1er (XVIIIe dynastie)
Il amène les villes d’Abydos et de Thèbes au faîte de leur splendeur et enrichit le temple de Karnak de pylônes et d’obélisques.

Hatchepsout (XVIIIe dynastie)
Elle mène d’importantes expéditions commerciales, embellit et agrandit l’ensemble de Karnak et fait construire le temple de Deir el-Bahari.

Thoutmosis III (XVIIIe dynastie)
Il ne peut régner qu’à la mort de la reine Hatchepsout et, haïssant jusqu’à sa mémoire, il fait effacer son nom de tous les monuments de Karnak et de Deir el-Bahari.

Aménophis III (XVIIIe dynastie)
Il épouse Tiyi, princesse syrienne d’une grande beauté qui aura une grande influence sur son époux. On lui doit la construction du temple de Louxor et des colosses de Memnon.

Akhenaton (XVIIIe dynastie)
Il passe pour le roi hérétique, en effet, il remplace la religion d’Amon par celle d’Aton. Il fait fermer les temples et chasser les prêtres.
Il épouse la belle Néfertiti qui aura une grande influence sur les réformes des coutumes et de l’art.

Toutankhamon (XVIIIe dynastie)
Il règne peu de temps et meurt à dix-huit ans dans des conditions mystérieuses; dans sa tombe l’on a retrouvé le plus imposant apparat funéraire jamais découvert en Egypte.

Séthi 1er (XIXe dynastie)
On lui doit la construction du temple d’Amon à Karnak et du temple d’Abydos.

Ramsès II (XIXe dynastie)
Il fut sans doute le plus grand pharaon égyptien; il règne pendant près de soixante-dix ans.
Il embellit l’Egypte d’innombrables constructions de Karnak à Abou Simbel et mène une série de brillantes campagnes militaires.
Son épouse préférée sera Néfertari, en l’honneur de laquelle il fera construire le Petit Temple d’Abou Simbel.

Mineptah (XIXe dynastie)
C’est pendant son règne qu’aura lieu l’exode du peuple hébreu.

Ramsès III (XXe dynastie)
Il met fin à l’invasion des « Peuples de la mer ».
On lui doit le grandiose temple de Médinet Habou.

Cléopâtre (69 – 30 av J-C)
Elle sera la dernière reine d’Egypte ; après son suicide l’Egypte deviendra une province romaine.

 

Assurance voyage
Blog & Conseils

Pourquoi faut-il vous procurer une assurance voyage ?

Vous pouvez choisir un forfait complet prévoyant les garanties frais médicaux d’urgence, annulation et interruption de voyage, perte ou détérioration de bagages et bien d’autres choses encore. Ou vous pouvez choisir une protection contre certains risques précis.

Assurance voyage

vous avez besoin d’une assurance voyage pour vous protéger contre des événements imprévisibles, même si vous ne partez que quelques jours aux États-Unis. Une maladie ou un accident peut survenir n’importe quand, que votre séjour dure quelques jours ou plusieurs mois.

Et n’oubliez pas que les soins médicaux coûtent très cher aux États-Unis mais que votre régime d’assurance maladie provincial ne couvre qu’une petite partie de ces frais. La prime d’assurance voyage, qui est à un prix modique pour un bref séjour, vous apporte la tranquillité d’esprit.

Nous vous recommandons vivement de souscrire votre assurance lorsque vous versez un acompte sur le prix du voyage puisqu’elle vous protège à partir du moment où la police est établie. Grâce à l’assurance annulation et interruption de voyage, vous êtes protégé contre d’éventuelles pénalités d’annulation imposées par les prestataires de services de voyage ou en cas de défaillance d’un prestataire de services de voyage.

Cela peut garantir que la protection comportant des exclusions relatives à une affection préexistante, au titre de l’assurance annulation et interruption de voyage, restera en vigueur et vous protègera contre une éventuelle majoration de prime en raison d’un changement d’âge qui surviendrait après la date de paiement du voyage.

Vous pouvez souscrire la protection familiale Frais médicaux d’urgence. Ce qui veut dire que vos enfants sont assurés lorsqu’ils vous accompagnent ou vous rejoignent en cours de voyage.

Sont couverts par la protection familiale vos enfants naturels et adoptifs, ainsi que les enfants du conjoint, s’ils sont célibataires et on moins de 21 ans. La police couvre aussi les enfants à charge de plus de 20 ans s’ils sont atteints d’une incapacité physique ou mentale ou de moins de 26 ans s’ils étudient à temps plein.

Ville de prague
République Tchèque

Partir a Prague

Je peux enfin dire que j’ai fait toutes les villes impériales : Budapest, Vienne et Prague. Des trois villes, Prague a été celle que j’ai le moins apprécié. Mon coup de cœur reste Budapest. Nous avions déjà visité donc Budapest et aussi Vienne, il nous manquait plus que Prague pour boucler la boucle impériale. Nous y voilà donc pour un long week-end.

L’amour de « my life » m’a offert ce voyage pour mon anniversaire l’année dernière. Nous sommes partis au mois de juin. Il a choisi cette période en pensant qu’il allait faire beau et on espérait fortement avoir du « sunshine ». Sur les 4 jours, nous avons eu 2 jours de pluie et 2 jours de soleil. Un peu comme mon impression, le temps était mitigé. Je ne sais pas si c’est à cause de la pluie ou à cause de l’ambiance mais j’ai moyennement apprécié cette ville.  J’ai trouvé les gens un peu froids et distants. Malgré tout, Prague est une ville très riche tant au niveau de son histoire que de sa culture. Cela n’enlève en rien à sa beauté, ses monuments sont magnifiques !

Ou peut-être j’ai aussi pas trop apprécié parce qu’il m’est arrivé une galère le dernier jour qui au final m’a laissé un arrière goût d’amertume. J’ai retiré 20 000 couronnes tchèques au lieu de 2 000 couronnes tchèques. Ce qui représente 740€ au lieu de 74€ 🙁 LA CRISE !!! La mission après pour chercher un bureau de change avec un taux raisonnable pour ne perdre trop d’argent. On en a trouvé un à 0% de taxe par contre la valeur était plus élevée. Au final j’ai perdu 70€ sur la totalité.

Avec du recul, je pense que je m’en suis pas trop mal sortie. Sois vigilant(e) avec les distributeurs, dans mon souvenir les montants sont représentés de manières décroissantes. Et puis la morale de cette histoire c’est qu’aujourd’hui je peux te dire où tu peux échanger sans frais. Je ne pense pas que ce genre de péripétie n’arrive qu’à moi mais je dois t’avouer qu’il m’est resté bien longtemps en travers la gorge, j’étais très mal. J’avais mal à mes finances 😀

On a quand même trouvé des trucs très sympas à faire. J’ai aussi adoré le quartier du château malgré la foule de touristes qui est présente à toute heure de la journée. Nous avons tout fait à pied de notre logement. Nous n’étions qu’à 10-15 minutes du centre ville. C’est d’ailleurs ce que je te recommande de faire. Prends de bonnes baskets et des chaussures plates pour le  soir. Comme dans beaucoup de ville européenne, les rues sont pavées du coup pour nous les filles c’est super galère avec des talons ou éventuellement des chaussures compensées si tu pars en été. Bon c’était ma minute « Girly »… 🙂

Pour en revenir à mes bons plans voici les adresses qu’on a repéré avant de partir. Tu as à ta dispo plusieurs restaurants, cafés et supermarchés. Nous y avons aussi mis des supers rooftops parce qu’on adore ça !

Ah oui le plus important, j’ai oublié de te donner la traduction des céréales contenant du gluten. Bon du coup le mot mémo technique ne fonctionne plus ici mais c’est toujours bon de savoir ce genre de chose avant de partir.

– Sans gluten : bezlepkové
– Seigle : žito
– Avoine : oves
– Blé : pšenice
– Boulgour : bulgur
– Orge : ječmen
– Triticale : Idem

Ville de prague

Quartier de STARE MESTRO, Prague

A Staré Mestro, tu seras au cœur de la vieille ville. On a l’impression de faire un voyage dans le temps car la place centrale a su garder tous les vestiges du XIX ème siècle. Près du pont Charles, balade toi dans les ruelles de la cité médiévale, cela te permettras d’échapper à la foule de touristes et d’apprécier pleinement la beauté des façades baroques.

Hôtel U Prince

Je vais te donner une petites astuces : j’ai constaté lors de mes voyages que beaucoup d’hôtels proposent des options sans gluten. Alors lorsque autour de toi tu ne trouves rien à te mettre sous la dent dirige toi vers un hôtel. En voici deux qui sont de surcroît magnifiques à visiter.

Lehkà hlava
Restaurant végétarien
Ce restaurant, à la fois sans gluten et végétarien, est tout simplement délicieux ! Je te parle même pas de la déco ! Elle est trop stylée ! Victime de son succès, nous avons eu un peu d’attente car nous n’avions pas réservé. Nous avons pris deux plats différents et tous les 2 étaient à tomber par terre. Je m’en rappelle encore. Son passage est obligatoire !
Alriso
Restaurant italien
 Alriso est un restaurant italien 100% sans gluten. Nous n’avons pas eu l’occasion d’y faire un tour cela dit au vue des photos de leur site tout à l’air succulent. Je pense que ça vaut vraiment le détour !
Home Kitchen
Ce restaurant n’est pas sans gluten mais il propose des plats qui ne contiennent pas de gluten comme par exemple une salade de quinoa, avocat, gorgonzola, poire et noix. La décoration est un joli mélange de bois et de verdure dans un style industriel.
Sisters
 Ce petit bistro est idéal pour prendre un déjeuner sur le pouce. Son menu est composé de tartine de tout genre et satisfera tous les goûts. Il y a la possibilité de demander à ce que le pain soit sans gluten et ça sans supplément !
Pizza Nuova
Envie de pâtes ?! Dans ce restaurant, il existe un menu celiac friendly pasta, il suffit juste de demander !
Mistral Café
Le Mistral Café se trouve dans le centre historique du quartier juif de Prague. L’atmosphère est agréable et confortable de quoi passer un bon moment pour se détendre. Il y a même un espace pour les enfants. Ce café fait aussi restaurant dont certains plats sont naturellement sans gluten.
Tricafe
Nous avons fait une pause au Tricafe pour y prendre une boisson chaude et une bière pour Monsieur ! L’endroit est super sympa. Tu peux venir prendre un déjeuner sur le pouce ou te poser pour bosser. Ce n’est pas très grand ce qui rend l’ambiance intimiste. Leur carte est composée de soupes ou de tartes bio végétariennes.
MyRaw Café
Je n’ai pas mis les pieds dans ce petit café mais d’après les images sur son site et les commentaires sur tripadvisor tout à l’air une tuerie ! Ce n’est pas qu’un café, tu peux aussi aller prendre ton p’tit déj ou te poser pour déjeuner. Tout est vegan et sans gluten alors fais toi plaiz !
Kavarna Obecni dum
Le Kavarna est spécialisé dans les déserts, gâteaux et pâtisseries maisons accompagnés d’un délicieux café ou thé. Tu as aussi la possibilité de déjeuner sur place. Tous les allergènes sont indiqués sur son menu.
Angelato
A n’importe quelle période de l’année, il est toujours agréable de se manger une petite glace surtout quand la plupart sont sans gluten. Angelato possède une liste de tous les allergènes que contiennent ses glaces.
Les autres quartiers, Prague
Les autres quartiers de Prague concernent :
  • Holešovice : le quartier artistique et branché
  • Žižkov : le quartier étudiant et populaire
  • Malá Strana : le quartier aux airs de village
  • Vinohrady : le quartier des familles bobos de Prague

Aux alentours de ces différents quartiers, il y a énormément de parcs pour se balader et se promener.

Lavande

Le Lavande est avant tout un restaurant proposant une cuisine familiale dans une atmosphère conviviale. Ce  restaurant met l’accent sur la qualité des matières premières et leur traitement. Il n’utilise pas de conservateurs et leurs matières premières sont de qualité. Son menu est basé sur des recettes principalement inspirées de la cuisine française et italienne. Lors du choix d’aliments, il pense aux cœliaques et végétariens pour qu’ils puissent tous manger à la même table sans restriction.

Café Savoy

Nous avons brunché au Café Savoy ! Après une bonne demi-heure d’attente car nous n’avions pas réservé, nous avons été accueilli dans un cadre très  chaleureux. Le décor est magnifique à l’image de cette ville impériale. Nous avons eu l’impression de faire un bond dans le temps et de partager un déjeuner avec Sisi l’Impératrice. De plus, il est situé près du Vlatava ce qui te permettra de faire une belle balade le long du fleuve pour digérer. Le Café Savoy est très côté, je te conseille de réserver ou d’arriver avant 12h pour ne pas trop attendre.

Mash Hana

Parce que manger japonais en mettant la sauce soja de côté est toujours une bonne alternative pour les « Glutenautes » comme nous alors voici une petite adresse située dans le nord de la ville.

Pizza Letna

Dans cette pizzeria tu peux composer ta pizza sans gluten selon tes envies à partir d’ingrédients frais et variés.

White and Crispy

White and Crispy est LA maison du sans gluten. Cette boulangerie / pâtisserie prépare que des produits sans gluten donc il n’y a pas de risques de contamination pour les cœliaques. White and Crispy utilise des matières premières de qualité d’origine italienne. Elle offre une large gamme de gâteaux, tartes, pains frais tous les jours (baguettes, baguettes de pain, morceaux). Sur demande, elle prépare plusieurs types de pizzas, lasagnes et gâteaux pour toutes les occasions.

The Farm Letna

Le Farm Letna est le café idéal pour faire une petite pause syndicale avant de repartir vers le Stromovka ou le parc zoologique de Prague. Tu as aussi la possibilité de déjeuner ou de goûter. Sa carte change tous les jours proposant des plats végétariens ou sans gluten. Sa décoration de vélos accrochés au mur est on ne peut plus originale et ses tables en bois t’envoient dans une ambiance forestière.

Muj slek kavy

Ce petit café de style street art offre de succulents gâteaux sans gluten pour un goûter royal.

Havran Café

Je n’ai pas eu l’occasion de me rendre au Havran Café mais d’après ce que j’ai lu ils font le meilleur carrot cake sans gluten de la région. Ils servent aussi des variétés de soupes aux légumes. Tu m’en diras des nouvelles !

 

 

 

Partir en voyage
Blog & Conseils

Quelques conseils pour préparer votre voyage

Voici quelques conseils pour partir en voyage l’esprit tranquille

Assurance voyage : Faut-il opter pour une assurance rapatriement ?

Une assurance rapatriement est généralement souhaitable. Consultez votre agent de voyages.

Formalités douanière

Les pays réglementent le contenu des bagages qui peuvent entrer sur leur territoire et en sortir. Un conseil : renseignez-vous sur les quantités autorisées, notamment pour l’alcool et les cigarettes.

Nous vous conseillons d’appeler le consulat du pays dès que vous connaissez votre date de départ. L’obtention d’un visa peut parfois demander plus d’un mois, surtout si vous n’êtes pas de nationalité française.
Surtout, n’oubliez pas de vérifier la date de validité de votre passeport.
Dans tous les cas, nous conseillons de faire une photocopie de vos papiers et billets d’avion en cas de perte des originaux.

Partir en voyage

Change de devises

Attention il n’est pas toujours possible de revendre les devises de pays étranger en France. Ni même de s’en débarrasser dans les duty free. Renseignez-vous.

Que faut-il dans votre valise ?

N’excluez jamais les variations de climat. Même pour les pays chauds, prévoyez toujours un pull, voire un imperméable. Vous pouvez consulter www.meteoconsult.fr Prévoyez également des vêtements longs. Indispensables pour entrer dans certains lieux de culte. Les prises électriques différent dans certains pays. Dans ce cas, nous vous conseillons d’acheter un adaptateur avant votre départ.

Faites surveiller votre domicile

Il est généralement possible de faire surveiller sa maison. Pour plus de renseignements, appelez le commissariat ou la gendarmerie.
Si vous souhaitez faire garder votre animal domestique, renseignez-vous auprès de votre vétérinaire. Sachez également que des associations proposent des tarifs généralement plus avantageux. Par exemple : Animado.

Etes-vous a jour dans vos vaccins ?

Pour certains pays, il est recommandé voire obligatoire de se faire vacciner. Nous vous conseillons de vous en assurer auprès de l’institut Pasteur.

Quelles compagnie devez vous éviter ?

Consulter les listes des compagnies autorisées et interdites en France sur le site officiel de la Direction Générale de l’Aviation Civile www.dgac.fr.

VOICI QUELQUES CONSEILS A PRENDRE EN CONSIDERATION AVANT DE PARTIR EN VOYAGE :

• Vérifiez les formalités d’entrée et de séjour auprès de l’ambassade du pays de destination

• Il est vivement conseillé de souscrire une assurance maladie et de rapatriement adaptée au pays de destination

• Ne transportez jamais l’integralité de vos devises sur vous

• Renseignez vous sur les différences qui peuvent exister entre la législation locale et la législation française (alcool, vitesse autorisée…)

• Ne jamais accepter de transporter de colis pour le compte d’une tierce personne

• Des notions d’anglais sont utile pour se faire comprendre a l’étranger

• Verifiez les plafonds de retraits et paiements de votre CB pour eviter de mauvaise surprises une fois sur place

• Si vous souhaitez ramener des objets de votre voyage pensez bien a ne pas depasser le quota fixé par les douanes

• Le change est en general plus interessant dans les aéroports que dans les hotels ou campings

• Évitez les parkings d’aéroports hors de prix, prenez un taxi pour vous y rendre

• Soyez a l’aéroport au minimum une heure avant le départ pour votre enregistrement

• Vos valises ne doivent pas dépasser le poids autorisé par la compagnie aérienne

• En avion respectez la taille/poids des bagages a main sous peine de devoir les enregistrer en soute

• Pendant le vol délassez vos chaussures car avec la pressurisation de l’air les pieds enflent

• Prévoyez une tenue de rechange pour l’arrivée sur place en fonction du climat

• A l’aeroport ne passez pas vos pellicules photos aux rayons X sous peine de les abimer

• Si vous pensez avoir le mal de l’air, des comprimés existent en pharmacie

• Le transport en avion de produits toxiques ou inflammables est interdit

• Si vous souffrez du mal de mer, des medicaments existent en pharmacie

• En bateau prevoyez des vetements chauds, il fait souvent frais le soir en mer

• Si vous craignez la mer agitée, demandez une cabine située au milieu du bateau

• Renseignez vous bien sur les activitées incluses dans votre forfait croisiere

• Mefiez vous des offres a bas prix pour eviter de mauvaises surprises

• Au camping ou a l’hotel, évitez de laisser trainer des objets de valeurs, mettez les a l’abri

• Dans les grandes villes, privilegiez les transports en commun pour vous déplacer

• Les animaux de compagnies sont souvent interdits en camping ou a l’hotel, pensez-y

• Pensez a vous proteger du soleil si vous allez a la plage ou a la montagne

• Respectez les vitesses sur la route, la periode estivale est propice aux controles de police

• Reservez votre billet a l’avance, cela vous permettra en général de faire des economies

• Dans tous les pays du monde, demandez toujours s’il n’y a pas de réductions ou de forfaits

• Ne prévoyez pas d’obligations importantes a l’arrivée en cas de retard imprevu

• Si vous recherchez la tranquillité, de la place ou un minimum de confort, choisissez la premiere classe

 

Tokyo japon
Japon

Que faire à Tokyo au Japon ?

L’une des plus grandes attractions de voyager au Japon au printemps est de pouvoir profiter des fleurs éphémères de cerisier ou de sakura, l’un des spectacles nature les plus célèbres du pays. De nombreux touristes, nationaux et étrangers, se rendent au Japon fin mars et début avril pour le hanami ou la contemplation des cerisiers en fleurs. Et contrairement à ce que l’on pourrait penser, il n’est pas nécessaire d’aller très loin pour profiter de la sakura. Au cœur de Tokyo, nous pouvons profiter de la beauté de ces fleurs, comme vous pouvez le voir.

Cerisiers du japon

Ensuite, nous partageons plusieurs itinéraires autant à pied qu’en transports en commun pour voir sakura à Tokyo. Vous pourrez ainsi profiter de votre visite à Tokyo au printemps. Mais vous verrez qu’au-delà d’une simple liste des meilleurs endroits pour voir sakura à Tokyo, nous avons voulu créer des itinéraires qui ont un sens et que vous pouvez faire pendant votre voyage à Tokyo. En fin de compte, les listes de sites ne sont rien de plus que des collections de lieux non organisés qui ne servent à rien. Quand nous sommes au Japon, ce dont nous avons besoin, c’est de savoir comment tirer le meilleur parti de la journée, entre quels endroits nous devons nous déplacer, quels déplacements ont des sens pour tirer le meilleur parti du temps, et ainsi de suite.

Ces plans sont donc très élaborés pour s’assurer qu’ils sont réalisables et qu’ils vous seront faciles à suivre. Et, bien sûr, en plus des cerisiers en fleurs, vous visiterez des lieux d’intérêt près des zones que nous vous recommandons de voir sakura. Nous avons fait un grand effort pour calculer les temps de trajet, nous assurer que les lieux à visiter sont ouverts lorsque vous proposez de les visiter, des options de transport optimales et même pour offrir des idées pratiques où s’arrêter pour déjeuner ou prendre un verre.

Comme toujours, vous avez toutes les informations dans une carte spécifique de sakura à Tokyo. Et n’oubliez pas, vous pouvez utiliser cette carte et les plus de 100 autres lorsque vous voyagez au Japon. Nous vous en parlerons dans la page Cartes, où vous trouverez également des liens vers toutes les autres cartes.

Il est important de noter que, pour les trajets en métro, vous ne pourrez pas utiliser le JR Pass. Vous pouvez obtenir un abonnement de métro 24, 48 ou 72 heures dans notre magasin, ce qui nous aide également à garder le Japon en vie et avec les meilleures informations pour voyager au Japon.
Itinéraire 1 : De la paix à l’agitation et l’agitation
Le premier itinéraire que nous vous proposons nous emmène des terrains tranquilles du cimetière d’Aoyama aux ruelles pleines de bars et aux gratte-ciel de Shinjuku. Un contraste parfait sans quitter la grande ville qu’est Tokyo.

Mais sur cet itinéraire, il y a aussi le temps de profiter des différentes attractions de la ville, comme une vue sur le sanctuaire Meiji et son parc Yoyogi tout proche, une promenade dans le quartier Harajuku et sa célèbre rue Takeshita, et un pique-nique hanami dans le fabuleux parc Shinjuku Gyoen.
Ensuite, nous partageons les lieux choisis et une heure approximative d’arrivée. Naturellement, chaque voyageur est différent, vous pouvez donc faire et défaire ce que vous voulez, en utilisant les idées que nous donnons ici pour façonner votre propre itinéraire, si vous le souhaitez. Si vous voyez qu’il n’y a pas d’information sur les stations de métro ou de train, c’est parce que nous marchons depuis le point précédent.

Et pour vous faciliter encore plus l’utilisation, nous incluons cet itinéraire d’une manière résumée et visuelle. Vous verrez que depuis l’ordinateur et depuis un appareil mobile, il est superbe et vous donnera toutes les informations dont vous avez besoin pendant que vous l’utilisez. Après l’itinéraire, vous pourrez voir plus de détails sur chaque endroit, si vous voulez plus d’informations.

Tour au japon

KantoTokyo
Comme toujours, vous avez toutes les informations dans une carte spécifique de sakura à Tokyo. Et n’oubliez pas, vous pouvez utiliser cette carte et les plus de 100 autres lorsque vous voyagez au Japon. Nous vous en parlerons dans la page Cartes, où vous trouverez également des liens vers toutes les autres cartes.
Il est important de noter que, pour les trajets en métro, vous ne pourrez pas utiliser le JR Pass. Vous pouvez obtenir un abonnement de métro 24, 48 ou 72 heures dans notre magasin, ce qui nous aide également à garder le Japon en vie et avec les meilleures informations pour voyager au Japon.
Contenu
Itinéraire 1 : De la paix à l’agitation et l’agitation
Itinéraire 2 : Sakura entre parcs et gratte-ciel
Itinéraire 3 : Les cerisiers les plus impériaux
Itinéraire 4 : Sakura au bord de la rivière Sumida
Itinéraire 5 : Jardins et détente
Autres lieux d’intérêt
Itinéraire 1 : De la paix à l’agitation et l’agitation
Le premier itinéraire que nous vous proposons nous emmène des terrains tranquilles du cimetière d’Aoyama aux ruelles pleines de bars et aux gratte-ciel de Shinjuku. Un contraste parfait sans quitter la grande ville qu’est Tokyo.
Mais sur cet itinéraire, il y a aussi le temps de profiter des différentes attractions de la ville, comme une vue sur le sanctuaire Meiji et son parc Yoyogi tout proche, une promenade dans le quartier Harajuku et sa célèbre rue Takeshita, et un pique-nique hanami dans le fabuleux parc Shinjuku Gyoen.
Ensuite, nous partageons les lieux choisis et une heure approximative d’arrivée. Naturellement, chaque voyageur est différent, vous pouvez donc faire et défaire ce que vous voulez, en utilisant les idées que nous donnons ici pour façonner votre propre itinéraire, si vous le souhaitez. Si vous voyez qu’il n’y a pas d’information sur les stations de métro ou de train, c’est parce que nous marchons depuis le point précédent.
Et pour vous faciliter encore plus l’utilisation, nous incluons cet itinéraire d’une manière résumée et visuelle. Vous verrez que depuis l’ordinateur et depuis un appareil mobile, il est superbe et vous donnera toutes les informations dont vous avez besoin pendant que vous l’utilisez. Après l’itinéraire, vous pourrez voir plus de détails sur chaque endroit, si vous voulez plus d’informations.
Itinéraire de sakura à travers Tokyo : De la paix à l’agitation et l’agitation
Arrêt 1
08:15 heures
Cimetière d’Aoyama
cimetière d’aoyama
Aoyama Reien (青山霊園) 08:15 heures – Gaienmae (ligne de métro Ginza), Nogizaka (ligne de métro Chiyoda) ou Aoyama Itchome (lignes de métro Hanzomon, Oedo et Ginza) Stations Entrée : Horaire gratuit : Ouvert toutes les heures
Arrêt 2
09:15 heures
Harajuku
Place Tokyu
Harajuku (原宿) 09:15 heures – Station Omotesando (ligne de métro Chiyoda) Entrée : Gratuit Horaire : Aucun horaire
Arrêt 3
11h00 du matin.
Parc Yoyogi
Parc Yoyogi
Yoyogi Koen (代々木公園) 11 h 00 Entrée : Gratuit Horaires : Pas d’horaire
Arrêt 4
12:30 p.m.
Sanctuaire de Meiji
Sanctuaire de Meiji
Meiji Jingu (明治神宮) 12:30 Entrée : Gratuit Horaire : Pas d’horaire
stop 5
14:00 heures
Shinjuku Gyoen
Shinjuku Gyoen
Shinjuku Gyoen (新宿御苑) 14:00 heures Entrée : 200 yens Heures d’ouverture : 09:00 à 18:00 heures (mars à juin) et fermé le lundi.
Arrêt 6
17:30 heures
Golden Gai
Golden Gai
Goruden Gai (ゴルデン街) 17:30 ho

Nous arrivons à l’arrêt Omotesando, situé au milieu de l’avenue Omotesando. Ici, nous pouvons nous promener en profitant de l’architecture de la région et prendre le petit déjeuner sur la terrasse du Starbucks situé dans le centre commercial Omotesando Tokyu Plaza. Il est très intéressant d’admirer l’architecture unique qu’il y a dans cette avenue impressionnante.

Ensuite, nous vous suggérons de marcher jusqu’au bout de la rue Takeshita, l’un des endroits les plus emblématiques de Harajuku. Ici nous pourrons voir l’atmosphère la plus moderne et la plus jeune et profiter au maximum de tout le quartier en profitant que nous sommes pour la zone. Et un détail important : achetez ici de la nourriture et des boissons (non alcoolisées, vous verrez pourquoi) pour pique-niquer sous les cerisiers en fleurs.

Si nous marchons jusqu’au début de la rue Takeshita, nous atteindrons la station Harajuku (JR) et l’entrée du sanctuaire Meiji et du parc Yoyogi, notre prochain arrêt.

Arrêt nº 3 : Parc Yoyogi
Yoyogi Koen (代々木公園)
11h00 du matin.
Entrée : Gratuite
Horaire : Pas d’horaire

Yoyogi Park est l’un des endroits préférés au cœur de Tokyo pour organiser des fêtes hanami ou des pique-niques. Ici, nous pouvons marcher, nous asseoir librement sous les cerisiers en fleurs ou simplement profiter de l’environnement et de la nature autour de nous, jouer au ballon ou au frisbee, et ainsi de suite.

Dans le parc Yoyogi, il y a environ 600 cerisiers, c’est pourquoi nous vous proposons de vous promener et de vous consacrer à les voir calmement, car nous allons pique-niquer sous les cerisiers en fleurs à un autre endroit. Bien sûr, si vous ne voulez faire qu’une partie de cet itinéraire pour finir par faire le pique-nique ici, ajustez les heures.

De là, nous marchons jusqu’à l’entrée du sanctuaire voisin de Meiji pour continuer notre itinéraire (10 minutes à pied).

Arrêt #4 : Sanctuaire Meiji
Meiji Jingu (明治神宮)
12:30 p.m.
Entrée : Gratuite
Horaire : Pas d’horaire

L’entrée du sanctuaire Meiji, l’un des grands sanctuaires de la ville, est indiquée par une grande porte torii en bois. Il vaut la peine de la traverser et de marcher le long de la route de gravier jusqu’à la place du sanctuaire, une vraie beauté qui nous fait oublier que nous sommes au cœur de Tokyo.

Si on y va un dimanche, on assistera peut-être aussi à un mariage traditionnel shintoïste. Cependant, le parc Yoyogi et surtout la rue Takeshita seront beaucoup plus bondés.

Du terrain du sanctuaire de Meiji, nous partirons de la porte nord en direction de la gare de Yoyogi et à l’est vers notre prochain arrêt : Shinjuku Gyoen Park (environ 25 minutes à pied).

Arrêt #5 : Shinjuku Gyoen
Shinjuku Gyoen (新宿御苑)
14:00 heures
Entrée : 200 yens
Heures d’ouverture : 09:00 à 18:00 (mars à juin) et fermé le lundi.

Shinjuku Gyoen est l’un des meilleurs parcs où profiter des cerisiers en fleurs au cœur de Tokyo. Achevé en 1906 en tant que jardin impérial, il a été ouvert au public en tant que jardin national après la Seconde Guerre mondiale et constitue aujourd’hui un magnifique poumon au cœur de la capitale. Le parc compte trois jardins distincts : le jardin japonais traditionnel, le jardin paysager à l’anglaise et le jardin formel à la française.

Shinjuku Gyoen Park est beau à tout moment de l’année, mais au printemps, il est particulièrement beau quand ses 1300 cerisiers fleurissent. De plus, comme il y a 65 variétés différentes de cerisiers, avec des périodes de floraison différentes, il y a toujours une fleur dans ce parc. Donc, si nous arrivons à Tokyo quelques jours avant la floraison générale ou quelques jours plus tard, nous verrons certainement des fleurs ici.

Tu te souviens pourquoi on t’a dit d’acheter à manger et à boire pendant que tu te promenais à Harajuku ? La raison en est qu’une fois que vous aurez visité le parc, nous vous encourageons à trouver un coin sous les cerisiers en fleurs et à vous asseoir pour profiter d’un pique-nique hanami authentique – vous allez adorer ça ! Les boissons alcoolisées ne sont pas autorisées dans le Shinjuju Gyoen, alors gardez cela à l’esprit lorsque vous achetez vos fournitures de pique-nique.

Nous ne sommes pas pressés, nous pouvons profiter du parc, du hanami, faire une sieste, discuter… tout ce que nous voulons !

Arrêt nº 6 : Golden Gai
Goruden Gai (ゴルデン街)
17:30 heures
Entrée : Gratuite
Heures d’ouverture : Pas d’heures d’ouverture (différents horaires des bars)

Une fois que nous quittons Shinjuku Gyoen Park, nous pouvons nous approcher des ruelles pleines de Golden Gai bars (15 minutes de marche de l’entrée de Shinjuju Gyoen). Selon l’heure, les néons commenceront à s’allumer et les barres commenceront à avoir une certaine vie.

Si nous en avons envie, nous pouvons aller boire une bière dans l’un d’entre eux ou simplement nous promener et nous imprégner de cette vision typique de Shinjuku et de ses ruelles pleines de petits bars. Bientôt, nous publierons un post spécifique pour tirer le meilleur parti d’une promenade dans Golden Gai, attention !

De Golden Gai nous pouvons facilement atteindre une autre ruelle classique à Shinjuku : Omoide Yokocho Alley (10 minutes à pied de Golden Gai). Encore une fois, bientôt nous vous en parlerons sur le web, patience !

Arrêt #7 : Omoide Yokocho
Omoide Yokocho (思い出横丁)
18:20 heures
Entrée : Gratuite
Heures d’ouverture : Pas d’heures d’ouverture (différents horaires des bars)

Cette ruelle, parallèle à la voie ferrée, est pleine de petits bars et de tavernes spécialisés dans les yakitori, les brochettes grillées typiques du Japon.

Si vous avez faim, nous vous recommandons d’aller dans l’un d’entre eux et de prendre une bière avec une brochette de yakitori, c’est toute une expérience !

Depuis Omoide Yokocho, nous pouvons marcher jusqu’à notre prochaine destination, le Tokyo Metropolitan Government Building, en profitant pleinement du quartier des gratte-ciel de Shinjuku (12 minutes à pied).

Arrêt nº 8 : Point de vue du gouvernement métropolitain
Tokyo Tocho (東京都庁)
19:00 heures
Entrée : Gratuite
Horaire : De 09:30 à 23:00 heures

Profitant du fait que nous sommes à Shinjuku, nous ne pouvons nous arrêter d’approcher du bâtiment du gouvernement métropolitain de Tokyo. Communément appelé « Tocho », ce bâtiment est surtout connu pour ses deux points de vue libres d’où l’on peut jouir d’une vue magnifique sur la ville. Et, si nous avons de la chance, même le Mont Fuji.

L’idée est donc de monter et de profiter des vues nocturnes de la ville, qui sont vraiment impressionnantes… il n’y a pas de fin aux mille lumières de Tokyo !

Une fois que nous quittons le belvédère, nous pouvons aller dîner dans l’un des nombreux restaurants de Shinjuku (si nous n’avons jamais mangé auparavant à Omoide Yokocho, par exemple). Nous en laissons quelques uns marqués sur la carte, mais vous pouvez aussi consulter notre entrée Manger au Japon et chercher un restaurant intéressant sur Google Maps.

Itinéraire 2 : Sakura entre parcs et gratte-ciel

Le deuxième itinéraire que nous proposons nous emmène du parc Shiba, situé à côté du temple Zojoji et de la tour de Tokyo, jusqu’au quartier Roppongi. Et finalement, nous finirons par profiter de la sakura la nuit ou yozakura dans la région de Nakameguro.

Au cours de cet itinéraire, nous profiterons de cette dualité moderne-traditionnelle qui fait le bonheur des touristes qui visitent le Japon. Parce que nous pouvons nous promener en voyant sakura dans un beau parc situé à côté d’un temple bouddhiste et au pied d’une tour de communication, par exemple. Ou flâner dans un beau jardin traditionnel parmi les grands gratte-ciel de Roppongi pour finir parmi les cerisiers éclairés par des lanternes dans un quartier à la mode comme Nakameguro.

Encore une fois, nous partageons les lieux choisis et un temps approximatif, que vous pouvez utiliser pour adapter l’itinéraire à votre goût. Et nous ajoutons également l’itinéraire de manière résumée et visuelle, afin qu’il soit facile à suivre pour vous.

Arrêt nº 1 : Temple Zojoji
Zojoji (増上寺)
09h00 – Stations Onarimon (ligne de métro Mita), Shibakoen (ligne de métro Mita), Daimon (ligne de métro Oedo) et Hamamatsucho (ligne JR Yamanote)
Entrée : Gratuite
Horaire : De 09:00 à 17:00 heures

Le temple Zojoji, temple principal de la branche Jodo-Shu du bouddhisme dans la région du Kanto, a été construit en 1393. Le shogun Tokugawa Ieyasu a été déplacé à son emplacement actuel en 1598 à son arrivée à Edo (aujourd’hui Tokyo). Le temple est devenu le temple familial de la famille Tokugawa, et six des 15 shogun Tokugawa sont enterrés dans le voisinage immédiat du temple.

Il y a aussi quelques cerisiers dans le temple qui, en fleurissant, ajoutent de la couleur à la vue traditionnelle du temple Zojoji avec la Tour de Tokyo en arrière-plan. Vous pouvez en savoir plus sur le temple et voir des photos et une vidéo de l’endroit dans notre post spécifique Zojoji temple.

Temple Zojiji et Tour de Tokyo
Le temple Zojiji et la tour de Tokyo au printemps

De là, nous marcherons jusqu’à la tour de Tokyo, à environ 10 minutes du temple Zojoji.

Arrêt #2 : Tour de Tokyo
Tokyo Tawā (東京タワー)
10 h 30.
Entrée : 900 yens (observatoire principal) / 2 800 yens (observatoires de billets combinés)
Horaire : De 09:00 à 23:00 heures

La Tour de Tokyo est sans aucun doute l’une des icônes de la ville. Profitant du fait que nous sommes dans la région, nous vous encourageons donc à aller jusqu’à son point de vue et à profiter de la vue sur la capitale. Si vous ne voulez pas monter jusqu’au point de vue, il n’y a pas de problème (puisqu’il y a plusieurs points de vue sur ces itinéraires), mais nous pensons que cela vaut la peine de se rapprocher et de voir la tour de près, au moins.

Vous pouvez en savoir plus sur la Tour de Tokyo dans notre article spécifique sur la Tour de Tokyo ici.

En quittant la Tour de Tokyo, nous devons descendre à Shiba Park, à environ 10 minutes à pied.

Arrêt #3 : Shiba Park
Shiba Koen (芝公園)
12:30 p.m.
Entrée : Gratuite
Horaire : Pas d’horaire

Nous continuons notre itinéraire avec une belle promenade à travers le parc Shiba, l’un des plus anciens parcs de Tokyo, avec les parcs Ueno, Asakusa, Fukagawa et Asukayama Park.

Ouvert au public en 1873, le parc faisait à l’origine partie du terrain du temple Zojoji tout proche. Toutefois, après la Seconde Guerre mondiale, il a été séparé et ouvert comme un site distinct. Il s’agit d’un parc à l’ancienne avec de nombreux types d’arbres tels que le camphre, les zelkovas et les ginkgos, ainsi que des cerisiers. Vous trouverez plus d’informations dans notre article spécifique sur le parc Shiba et le temple Zojoji.

C’est un bon endroit pour s’allonger sous les cerisiers en fleurs et faire un pique-nique hanami, si vous voulez. Sinon, on peut toujours aller manger à notre prochain arrêt, comme on veut. Vous avez un restaurant ou un stand de nourriture indiqué sur la carte, mais vous pouvez toujours utiliser Google Maps pour trouver des recommandations.

Pour se rendre dans la région de Roppongi, on peut prendre le bus jusqu’à la sortie est de la gare de Tamachi. De l’arrêt de la gare d’Akabane, nous devrons nous rendre à l’arrêt Roppongi Keyakizaka (22 minutes). Nous pouvons aussi prendre la ligne de métro Oedo de la station Akabanebashi jusqu’au prochain arrêt, la station Azabujuban et marcher de là (19 minutes).

Arrêt #4 : Roppongi Sakurazaka
Roppongi Sakurazaka (六本木さくら坂)
14:00 heures – Station Azabujuban (ligne de métro Oedo)
Entrée : Gratuite
Horaire : Pas d’horaire

Notre premier arrêt à Roppongi est un endroit un peu particulier, juste derrière le complexe Roppongi Hills. C’est une rue appelée Roppongi Sakurazaka ou « Roppongi cherry slope » qui, comme son nom l’indique, compte environ 75 cerisiers des deux côtés.

En raison de sa situation, au pied des grands gratte-ciel de Roppongi, offre de belles vues sur les cerisiers combinés avec les gratte-ciel.

Roppongi Sakurazaka Cerises

Arrêt nº 5 : Jardins de Mori
Mori Teien (毛利庭園)
14:45 heures
Entrée : Gratuite
Horaire : Pas d’horaire

Les Jardins de Mori sont magnifiquement cachés parmi les gratte-ciel de Roppongi et font partie du complexe des Collines de Roppongi.

Les jardins sont beaux à tout moment de l’année, mais quand ils fleurissent, les cerisiers sont tout simplement magnifiques. L’entrée est totalement libre et nous pouvons nous promener librement, il vaut donc la peine d’approcher et de profiter de sa beauté.

Jardins de Mori

Arrêt nº 6 : Mirador de la torre Mori (Mirador de la torre Mori)
Roppongi Hills Mori Biru (六本木ヒルズ森ビル)
15:45 heures
Prix d’entrée : 1 800 yens
Horaire : De 10:00 à 23:00 heures

Le belvédère de la Tour Mori, dans le complexe immobilier Roppongi Hills, est l’un des points de vue les plus fabuleux de la ville de Tokyo, d’autant plus qu’il offre une vue imprenable sur la Tour de Tokyo.

Avec ses 238 mètres d’altitude, la Tour Mori est l’un des bâtiments les plus hauts de la capitale japonaise. Il est essentiellement utilisé pour les bureaux, bien qu’il y ait quelques étages avec des magasins et des restaurants et enfin le Mori Art Museum aux étages supérieurs à côté du belvédère (il y a des billets combinés pour visiter à la fois le musée et le belvédère).

Vues du point de vue de la Tour Mori
De là, nous irons à Nakameguro pour profiter de notre dernière étape de la journée. Pour cela, nous prendrons un train de la ligne de métro Hibiya de la station Roppongi à la station Nakameguro (30 minutes).

Arrêt #7 : Nakameguro
Nakameguro (中目黒)
18h30 – Station Nakameguro (ligne de métro Hibiya)
Entrée : Gratuite
Horaire : Pas d’horaire (illuminations de 18:00 à 21:00 heures)

Nakameguro est généralement un quartier relativement calme, avec de nombreux magasins (dont certains sont branchés) et restaurants. Mais quand les plus de 800 cerisiers du tronçon de 3,8 kilomètres entre le pont Ikejiri et Fudomae fleurissent et tachent tout le canal de rose… les choses changent !

Des milliers de personnes viennent voir ce beau spectacle de la nature. Il y a des étals de nourriture, des magasins ouverts jusqu’à plus tard et l’atmosphère est merveilleuse, surtout la nuit, quand les lanternes illuminent les cerisiers en fleurs.

Cerises et lanternes à Nakameguro

C’est l’endroit idéal pour profiter du yozakura ou de l’observation des cerisiers illuminés la nuit… Profitez-en !

Mulhouse
Villes

10 lieux à voir lors de votre séjour à Mulhouse en Alsace

Lors de mon récent voyage en Alsace pour voir les marchés de Noël, j’ai non seulement visité la ville de Strasbourg, mais j’ai aussi eu l’occasion de voir Mulhouse, une autre ville qui a des attractions intéressantes.

Située au sud de cette région frontalière avec l’Allemagne, c’est une ville d’environ 125.000 habitants et une importante histoire industrielle dédiée à la production textile, chimique et ferroviaire.

Mais sachez que Mulhouse est un lieu de longue tradition en tant que république indépendante liée aux cantons suisses voisins, très proche des villes allemandes de Fribourg et Belfort, et à seulement 30 kilomètres de la ville suisse de Balisea.

Maintenant dans la visite de cette ville, en plus de pouvoir voir un marché de Noël qui a un grand charme, vous pouvez visiter divers endroits qui reflètent ce passé industriel et comme une république indépendante.
Histoire de Mulhouse

Mulhouse a été fondée au VIIe siècle et est plus jeune que les autres villes d’Alsace depuis le IVe siècle.

Au Moyen Age, elle faisait partie d’une alliance de 10 villes alsaciennes, mais son histoire est marquée par l’attaque qu’elle subit à la fin du XVe siècle par le Saint Empire allemand.

Puis la noblesse de Mulhouse rejoint les Allemands, et la ville ne reçoit pas d’aide des autres villes de l’alliance, alors elle s’en sépare et décide en 1515 de rejoindre les cantons suisses.

C’était le début de son étape en tant que ville et république indépendante.

En 1525, la Réforme luthérienne a eu lieu, les catholiques ont été expulsés et Mulhouse est devenue une ville calviniste.

C’est déjà en 1746 que naquit la première usine textile, destinée spécifiquement à la production de tissus imprimés, et dès lors cette industrie connaît un grand développement et Mulhouse devient une république riche.

C’est précisément en facilitant ce développement que Mulhouse a finalement rejoint la France en 1798, 10 ans après la Révolution française.

Déjà intégrée à la France, Mulhouse connaît un grand développement industriel, par exemple avec l’installation de l’usine ferroviaire qui est aujourd’hui l’actuelle Alstom, fabricant de trains à grande vitesse, tramways et paquebots de croisière.

Ce développement industriel s’est reflété dans la distribution de la ville, les usines textiles étant concentrées dans la partie nord de la ville.

C’est à l’ouest de Mulhouse qu’ont été installées les usines dédiées à la production de machines pour les chemins de fer, et la partie sud est devenue un quartier résidentiel pour les personnes les plus riches.

Enfin, pendant la Seconde Guerre mondiale, la ville de Mulhouse a été fortement bombardée, y compris par les Anglais qui, on le sait depuis peu, pensaient bombarder la ville allemande voisine de Fribourg.

Muse automobile mulhouse

A voir et à faire lors de la visite de Mulhouse

Aujourd’hui, en visitant Mulhouse, vous découvrirez qu’il s’agit d’une ville très cosmopolite avec une population importante venant de plus de 40 pays, qui s’est concentrée dans cette ville française en raison de la grande activité industrielle qu’elle maintient toujours.

Un bon exemple en est la grande usine automobile que Peugeot possède près de Mulhouse, qui a attiré de nombreuses personnes d’origines diverses qui se sont installées dans la ville pour y travailler.

Cela, vous ne trouverez pas un centre historique avec un grand complexe architectural, comme cela peut arriver dans d’autres villes médiévales, car les bombardements mentionnés ci-dessus ont fait une brèche dans le patrimoine de Mulhouse.

Mais au cours d’une promenade dans le centre, vous verrez quelques bâtiments historiques et de nombreuses maisons avec des peintures sur la façade, anciennes et nouvelles.

Voici quelques-uns des points saillants que vous devriez voir lors de votre visite d’une journée complète à Mulhouse lors d’un voyage à travers l’Alsace.

Marché de Noël de Mulhouse

Et je commence par parler du marché de Noël de Mulhouse, que l’on ne peut visiter que pendant la saison de l’Avent, au mois de décembre, mais qui est l’une des raisons les plus fréquentes pour un voyage en Alsace.

Concentrée sur la place principale de la ville, la place de la Réunion, a comme différence avec les plus connues de Strasbourg et Colmar qui n’est pas du tout saturée de touristes car tous les visiteurs sont des gens du pays.

Mais cela ne veut pas dire que lorsque vous viendrez visiter Mulhouse à l’heure de Noël, vous trouverez un marché de Noël avec un charme incroyable.

Cela est dû à son emplacement dans une place avec un imposant temple protestant et le bâtiment spectaculaire de l’ancien hôtel de ville, auquel vous ajoutez le grand éclairage de tous les bâtiments de la place et la grande roue à aubes qui est situé entre les maisons en bois du marché.

Dans cette dernière, vous trouverez l’offre typique des artisans locaux et de la nourriture, le tout enveloppé dans l’arôme caractéristique de l’odeur de cannelle du vin chaud.

Église protestante de San Esteban

Le temple protestant susmentionné est un bâtiment néo-gothique construit en 1866. qui était initialement une église catholique, mais est devenu plus tard un siège de la religion protestante.

A l’intérieur, on peut voir des vitraux qui appartenaient à une ancienne église, et qui sont les plus anciens conservés en Alsace.

L’église de San Esteban reflète actuellement le pouvoir des protestants dans la ville parce que, bien qu’ils soient déjà une minorité, ils conservent une position prééminente car ils sont les propriétaires des industries locales.

A cet égard, il convient de noter que jusqu’en 1806, Mulhouse était sous un régime protestant très dur, puisque seuls les protestants pouvaient résider dans la ville ; Juifs et catholiques, après leur journée de travail, ne pouvaient y passer la nuit.

Aujourd’hui, c’est devenu une salle de concert où tous les samedis, un événement musical est prévu.

Ancienne Mairie de Mulhouse

Mais s’il y a un bâtiment qui se distingue sur la Plaza de la Reunión de Mulhouse, c’est bien l’ancien Hôtel de Ville, véritable emblème de la ville.

Il s’agit d’un bel édifice de style Renaissance construit en 1551, avec deux escaliers qui s’ouvrent des deux côtés et dont les façades sont entièrement peintes dans une teinte rose vif.

Ces peintures montrent les armoiries de la République de Mulhouse, et dans la partie supérieure de la façade les figures des vertus sont représentées.

A l’intérieur se trouve le Musée Historique de Mulhouse, que vous pouvez visiter gratuitement tous les jours de l’année, sauf les mardis et jours fériés, de 13h à 18h30, et en juillet et août, de 10h à 12h et de 13h à 18h 3h.

A l’intérieur, ne manquez pas la grande salle qui fut le siège historique du gouvernement de ladite République de Mulhouse, dont les murs et les plafonds sont décorés de peintures qui reflètent cette époque.

Maison Mieg à Mulhouse

Sur la place de la Réunion, il y a d’autres beaux bâtiments qui forment un ensemble architectural intéressant, dont la Maison Mieg de style Renaissance, une maison bourgeoise construite en 1418 que vous reconnaîtrez à sa tour et ses peintures de 1799 en façade.

Musée de l’Automobile de Mulhouse

Lors de mon récent voyage, quelqu’un m’a dit que ce qui vaut la peine de visiter Mulhouse, c’est de connaître la Cité de l’Automobile, un musée qui est devenu le principal pôle d’attraction des touristes vers la ville.

Et la vérité est que cette visite est en attente d’un autre voyage en Alsace, mais je peux vous dire que ce musée de l’automobile trouve son origine dans la collection que les frères Schlumpf, propriétaires d’une usine textile, ont commencé à chérir depuis 1961.

Ouvert au public en 2006, c’est l’un des plus importants musées de l’automobile au monde où l’on peut voir 243 voitures anciennes, dont une Bugatti Royale.

Chapelle St. John’s à Mulhouse

La partie orientale du centre historique de Mulhouse au Moyen Âge était essentiellement un quartier résidentiel de la population catholique, dans lequel se concentraient les églises et les monastères, dont certains étaient dirigés par les ordres religieux de la Cavalerie.

C’est le cas de la chapelle Saint-Jean, aujourd’hui une petite église qui appartenait au XIIIe siècle à un monastère de l’Ordre de Malte.

Après la Réforme protestante a été abandonnée et a ensuite eu diverses utilisations, jusqu’à ce que, au XIXe siècle a été décidé sa réhabilitation et est maintenant un lieu de concerts ou d’événements.

Aujourd’hui, la chapelle Saint-Jean est l’un des plus anciens bâtiments de Mulhouse et à l’intérieur sont conservés des peintures du XVIe siècle.

L’art urbain à Mulhouse

Quelque chose qui attirera votre attention dans votre promenade à travers Mulhouse est de voir de nombreuses façades de bâtiments décorés de peintures de différentes époques, y compris les plus récentes.

L’art urbain dans un immeuble de Mulhouse
L’art urbain dans un immeuble de Mulhouse

Je vous dirai que dans la ville sont catalogués jusqu’à 60 bâtiments avec des peintures dans leurs façades, qui suivent la tradition de l’époque précédente, et dont le meilleur exemple est la façade de la mairie, déjà mentionnée, totalement décorée.

Musée des Tissus Imprimés à Mulhouse

Dans l’un des plus beaux bâtiments de Mulhouse, vous trouverez l’un des musées industriels que vous pourrez visiter dans cette ville alsacienne.

C’est le musée des Tissus Imprimés dont l’origine remonte à 1833, lorsque les industriels du textile de la ville ont décidé de créer une collection des tissus qu’ils concevaient, qui compte actuellement plus de 6 millions de pièces.

Le musée a ouvert ses portes au public en 1955, et lors de votre visite, vous pourrez voir une exposition permanente de dessins de machines et de tissus des XVIIIe et XIXe siècles, ainsi que des expositions temporaires.

Ce musée reflète le grand essor de l’industrie de l’impression textile à Mulhouse, une ville qui au XIXe siècle comptait jusqu’à 150 usines, bien qu’après la crise des années 70 du siècle dernier, il ne reste presque plus d’usines.

Dans le musée, vous pouvez voir des machines textiles de Manchester, et en fait Mulhouse était connu au XIXe siècle comme le Manchester français.

Il est à noter que chaque année, à la période de Noël, un design spécial de tissus est réalisé qui devient le protagoniste dans la décoration de Noël de la ville.

Ce design est intégré dans les éléments décoratifs installés dans la ville, ou dans les nappes et rideaux utilisés dans les restaurants et les maisons pendant ces dates.

Marché de Mulhouse

Si vous êtes un lecteur régulier de ce blog, vous savez que lorsque nous voyageons, nous aimons visiter les marchés parce qu’ils sont un bon reflet de ce qu’est une ville.

Le marché de Mulhouse est l’endroit idéal pour prendre le pouls de cette ville alsacienne car il montre son caractère très cosmopolite, car on y trouve non seulement des produits locaux de la région, mais aussi d’autres parties du monde, du Maghreb à la Chine.

Ouvert les mardis, jeudis et samedis, de 7h à 17h, avec 350 stands installés dans le bâtiment Halle et les esplanades extérieures environnantes, il est le troisième marché de France.

La Halle est un bâtiment construit en 1910, et à l’intérieur se trouvent les étals de nourriture fraîche, tandis qu’à l’extérieur vous trouverez des fruits et légumes, ainsi que d’autres produits, dont des vêtements.

Le samedi, un espace spécial est réservé aux petits producteurs locaux.

 

Ecomusée d’Alsace

Lors de votre voyage à Mulhouse, vous avez la possibilité de visiter un musée très intéressant qui se trouve à seulement 15 kilomètres de la ville, dans la petite ville d’Ungersheim.

C’est l’Ecomusée d’Alsace, un musée vivant d’architecture rurale où sont conservées plus de 70 maisons et autres bâtiments traditionnels datant de la fin du XIXe et du début du XXe siècle.

Depuis 1973, ces bâtiments ont été récupérés et déplacés à l’emplacement actuel du musée, qui a été ouvert au public en 1984, et émule maintenant un petit village traditionnel alsacien, mais tous les bâtiments originaux.

Au cours de votre agréable promenade à travers l’Ecomusée d’Alsace, vous pourrez voir des fermes aux ateliers d’artisans de différents métiers, afin que vous puissiez voir en direct l’environnement rural caractéristique de cette région française.

Où manger alsacien à Mulhouse ?

Enfin, pour votre voyage, si vous voulez goûter la cuisine alsacienne la plus typique, je vais vous faire deux propositions totalement différentes.

D’une part, le restaurant Le Cellier au centre de la ville, une taverne alsacienne typique (winstub) de style allemand clair avec une cuisine informelle, où vous pourrez déguster certaines des spécialités de la région.

Par exemple, Bibalakase, un type de fromage blanc qui est pris avec des herbes, de l’oignon et de l’ail, accompagné de pommes de terre et de fromage munster.

Ou Fleischnacka, un plat qui se présente sous la forme d’une queue de viande, mais qui est en fait une pâte qui peut être faite avec trois types de viande différents.

Et d’autre part, le restaurant Maison Kieny, dans la ville voisine de Riedisheim, et un signe que la haute cuisine a aussi un trou à Mulhouse.

C’est un établissement étoilé Michelin dont l’offre gastronomique réinvente la cuisine traditionnelle alsacienne.

A signaler la présentation originale d’une table typique de saucisses alsaciennes.

Carcassonne
Villes

Carcassonne, promenade dans la grande citadelle médiévale du sud de la France

S’il y avait une destination en France qui m’a longtemps intéressée c’est sans doute Carcassone, la grande citadelle médiévale de la nouvelle région de l’Occitanie, au sud de la France, non loin de la frontière espagnole.

J’avais vu des photos de l’imposante forteresse et j’ai été étonné de découvrir cet héritage du Moyen Âge qui a été déclaré patrimoine mondial par l’UNESCO.

Carcassonne

Et j’ai pu réaliser ce souhait en profitant du voyage à Narbonne pour voir le restaurant Les Grands Buffets, et de la liaison ferroviaire à grande vitesse entre ces deux grandes villes Française.

La citadelle de Carcassonne a une très longue histoire, avec plus de 2500 ans, puisqu’elle remonte à un établissement celtique du VIe siècle av. J.-C. sur la colline où se trouve la fortification.

C’est aujourd’hui l’un des lieux les plus emblématiques de cette région, une véritable attraction puisqu’elle est devenue l’une des cinq villes les plus visitées de France,

Et comment est-il logique de le comprendre après l’avoir visité, c’est un coin idéal pour être la scène de films comme « Robin des Bois ».

L’Histoire de la Citadelle de Carcassonne

Au Ier siècle av. J.-C., l’enclave où se trouve Carcassonne fut occupée par les Romains, et au IVe siècle, elle devint un petit château.

Avec les périodes d’occupation par les Wisigoths et les Sarrasins, au VIIIe siècle a été incorporé dans le royaume franc.

La forteresse entourant la citadelle militaire, telle que nous la connaissons aujourd’hui, a été construite au début du XIIIe siècle, lorsque Carcassonne a subi l’attaque de la croisade contre les Cathares ordonnée par le pape Innocent III.

Carcassonne
Après un siège et sa reddition, en août 1209, la citadelle et les terres du vicomte de Carcassonne de l’époque, Ramón Roger Trencavel, passèrent entre les mains du chef militaire de la croisade et furent ensuite cédées au roi de France.

A cette époque, la forteresse en tant que telle était isolée au sommet du promontoire, car en 124ème les quartiers extra-muros qui s’étaient étendus sur les pentes de la forteresse avaient été détruits, après une tentative ratée de la famille Trencavel pour récupérer la citadelle.

Dès lors, la ville basse, connue aujourd’hui sous le nom de Bastida de San Luis, émergea, qui devint le lieu de résidence des classes les plus nobles de la région.

Après le traité des Pyrénées en 1659, la citadelle perdit sa fonction de poste frontière.

Enfin, au XIXe siècle, la forteresse de Carcassonne a fait l’objet d’une importante restauration et, aujourd’hui, l’un des sites touristiques les plus importants du sud de la France, accueille plus de trois millions de visiteurs par an.

Carcassonne

Bastide Saint-Louis

Maintenant, quand vous allez visiter Cascasona, vous arriverez d’abord à la ville basse, la Bastida de San Luis, où se trouve la gare, et qui est reliée à Carcasona par le Puente Viejo (vieux pont).

Au cours d’une promenade à travers la Bastida de San Luis, vous pourrez voir des palais et visiter l’église Saint Vincent.

Le Canal des Midi passe également par là, une deuxième raison pour laquelle la ville de Carcassonne est inscrite sur la liste du patrimoine mondial.

Pour sa part, la citadelle de Carcassonne est une enceinte fortifiée inaccessible en voiture et où vivent à peine 50 personnes, alors que dans les années 1960, il y avait environ 500 personnes de profil modeste.

La citadelle est aujourd’hui un grand centre touristique qui, les week-ends et jours fériés, est très fréquenté par les visiteurs.

Carcassonne

A voir et à faire à Carcassonne

La visite habituelle de Carcassonne se fait par la porte principale, Narbonne, du 13ème siècle et avec un pont-levis, devant lequel se trouve un grand parking.

De là, votre visite doit comporter deux phases.

Mur de Carcassonne
D’une part, traverser au moins une partie du double mur qui entoure complètement la citadelle.

Et d’autre part, flânez dans les rues de l’intérieur à la découverte des coins et des monuments les plus remarquables.

Le lizas est le nom donné au terrain aplati qui s’étend entre les deux murs et qui a une circonférence d’un kilomètre.

Ce terrain a été établi au XIIIe siècle, lors de la construction de la seconde muraille, à l’extérieur, et au fil du temps, il a été occupé par les maisons des habitants les plus pauvres de Carcassonne.

Dans la restauration susmentionnée du XIXe siècle, ces maisons ont été détruites.

Dans la promenade à travers les collines, vous aurez l’occasion de voir de bonnes perspectives de la fortification, ainsi que des vues panoramiques sur les environs de la citadelle de Carcassonne.

Château comtal de Carcassonne
Sur cette route, vous passerez devant le château de Condal, construit au 12ème siècle comme dernier coin défensif de la citadelle.

Dans cette enceinte, vous verrez un grand mur, des tours rondes, la barbacane, un fossé et un derrick d’entrée.

Dans son mur intérieur, il reste des vestiges de la muraille gallo-romaine d’origine du IIIe siècle.

Porte de l’Aude
Il vaut également la peine d’arriver à la porte de l’Aude, qui est utilisée pour se promener de la ville basse, un coin où je vous assure que vous vous sentirez transféré à l’époque médiévale, avec son entrée à la citadelle à travers une barbacane, une rampe fixée au mur.

Basilique Saint-Nazaire à Carcassonne
Dans votre promenade à travers les très beaux coins de l’atmosphère médiévale que vous trouverez dans la citadelle de Carcassonne, le monument sans doute le plus important est la basilique Saint-Nazaire.

Construite entre le XIe et le XIVe siècle, elle présente une combinaison de styles roman et gothique.

Ainsi, lors de votre visite, vous pourrez voir le portique, la nef centrale et les chapiteaux de style roman, bien que ce qui retiendra le plus votre attention soit le transept gothique, avec ses imposants et précieux vitraux.

Bref, mon voyage m’a confirmé que Carcassonne doit être une visite incontournable sur un itinéraire traversant cette région du sud de la France.

Et flâner dans cette citadelle médiévale justifie bien une évasion facilitée par la possibilité d’arriver d’Espagne en train à grande vitesse.

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